Nous avons accompli la salate Al-Maghrib derrière un Imam qui, dans la deuxième unité de la prière, n’a rien récité après Al-Fâtihah, puis a prononcé le Takbîr et s’est incliné. A la fin de la troisième unité, il a fait les deux salutations, sans effectuer la prosternation d’oubli. Quand nous lui avons demandé de l’effectuer, il a répondu que ce n’était pas nécessaire, que sa conduite était licite et que c’est délibérément qu’il n’avait rien récité après Al-Fâtihah. Quelle est la sentence légale islamique, relative au fait de ne pas réciter délibérément des versets du Coran après Al-Fâtihah dans la deuxième unité de la salâte Al-Maghrib ? Qu’Allah vous récompense.
Louange à Allah et que la paix et la bénédiction soient sur Son Prophète et Messager, Mohammed, ainsi que sur sa famille et ses compagnons :
Ne pas réciter délibérément des versets coraniques après Al-Fâtihah dans les première et deuxième unités de prière est Makrouh (détestable), et quiconque le fait exprès a ainsi volontairement négligé une Sunnah, selon l’avis de la majorité des ulémas.
La prosternation d’oubli ne compensera pas ce manque, puisque cette prosternation comble ce qui est involontaire. Si le Musulman qui accomplit la prière délaisse exprès une obligation ou un pilier, sa prière sera invalide et la prosternation d’oubli ne pourra y remédier. Mais s’il délaisse exprès une Sunnah, sa prière sera valable mais mal accomplie, et la prosternation d’oubli ne remédiera pas à son erreur.
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