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Le miracle de l’immolation des bêtes en Islam

Le miracle de l’immolation des bêtes en Islam

Question :

Dr. John, qu’arrive-t-il à l’animal quand on coupe les veines qui se trouvent dans la partie antérieure de son cou ?
 
Réponse :
Du point de vue scientifique, lorsqu’on coupe les veines qui se trouvent dans la partie antérieure du cou de l’animal ou de l’homme, cet être perd immédiatement conscience.
 
Prenant un exemple, le docteur a ajouté : « Si on étrangle une personne et qu’on appuie un peu sur son cou, elle ressentira rapidement un fort vertige et une incapacité à se concentrer, car alors, le sang n’atteindra que difficilement son cerveau. Si la pression sur le cou continue, elle perdra toute sensation et s’évanouira ».
 
Question :
Donc, le fait de couper les veines qui se trouvent dans la partie antérieure du cou de l’animal pour vider son corps du sang mène à son évanouissement ?
 
Réponse :
Oui, naturellement.
 
Question :
Cet animal ressent-t-il des douleurs quelconques directement après son égorgement ?
 
Réponse :
Certes non, car il est complètement inconscient.
 
Question :
Alors, pourquoi fait-il ces mouvements spasmodiques qui donnent l’impression qu’il souffre ?
 
Réponse :
Parce qu’en coupant les veines jugulaires, tout en laissant intacts les os du cou – ce qui constitue la méthode islamique d’immolation – l’alimentation du cerveau en sang s’arrête, alors que celui-ci est encore vivant et que le système nerveux, qui se trouve dans la partie postérieure du cou, est encore relié à tous les membres du corps. Ce système nerveux continue à transmettre des signaux au cœur, aux muscles, aux entrailles et à toutes les cellules qui se trouvent dans le corps de l’animal pour envoyer du sang au cerveau. Par conséquent, ces cellules, entrailles et muscles font ces mouvements convulsifs pour envoyer le sang vers le cœur qui, à son tour, le pompe vers le cerveau. Or, le sang afflue vers l’extérieur du corps au lieu de monter vers le cerveau, en raison des veines coupées. Ainsi, le système nerveux continue-t-il à transmettre ces signaux et les organes du corps, à envoyer le sang, jusqu’à ce qu’il en sorte entièrement. Quant à l’idée courante, prétendant que l’animal souffre en l’immolant de cette manière, elle a été scientifiquement démentie car, comme nous l’avons déjà affirmé, dès que les veines qui se trouvent dans la partie antérieure du cou sont coupées, l’animal s’évanouit et perd définitivement toute sensation.
 
Question :
Mais, du point de vue médical, est-il préférable de laisser le sang dans le corps de l’animal après sa mort ou de le vider de son sang ?
 
Réponse :
En fait, le sang est l’un des environnements les plus fertiles pour la multiplication des bactéries, car il comporte des matières qui nuisent à la santé de l’homme. Si ce liquide reste dans la chair de l’animal après sa mort, il fournit un terrain propice et fertile pour la multiplication des microbes, en plus des matières nocives qui devraient être évacuées.
 
Question :
Et que pensez-vous des autres méthodes utilisées, surtout celles qui sont adoptées dans la majorité des pays européens et qui consistent à frapper l’animal sur la tête pour qu’il perde connaissance avant de l’égorger ?
 
Réponse :
Cette méthode a des effets néfastes sur la santé de l’homme, car elle entraîne la mort lente de l’animal. Par conséquent, la membrane qui recouvre les gros intestins perd sa compétence fonctionnelle et les bactéries qui s’y trouvent traversent le corps de l’animal et arrivent au sang ; elles y nagent jusqu’à s’emparer de tout le corps de l’animal mort. La méthode la plus sûre pour consommer de la viande sans sang ni bactérie consiste à débarrasser l’animal immolé de son sang.
 
Louange à Allah, Exalté soit-Il, pour le bienfait de l’Islam.
 
D’après Abou Ya’la Chaddaad Ibn Aws, qu’Allah soit satisfait de lui, le Prophète, Salla Allahou ‘Alaihi wa Sallam, a dit :
 
« Allah a prescrit de faire correctement toute chose. Quand vous tuez, faites-le correctement. Quand vous égorgez une bête, faites-le correctement : aiguisez bien votre lame pour lui éviter de souffrir »(Mouslim).
 
Pour parfaire les résultats, une recherche a été effectuée à ce sujet à l’Université allemande de Hanovre par un professeur allemand non Musulman et un docteur égyptien musulman, qui sont arrivés exactement au même résultat.
 
Les détails de cette expérience ont été publiés en anglais sur le site d’Islamway il y a environ trois ans. Je vous la transmets, suivie de sa traduction, si Allah le veut :
 
La méthode islamique, adoptée pour l’immolation des bêtes, est la meilleure
 
D’après Chaddaad Ibn Aws, qu’Allah soit satisfait de lui, le Prophète, Salla Allahou ‘Alaihi wa Sallam, a dit :
 
« Allah a prescrit de faire correctement toute chose. Quand vous tuez, faites-le correctement. Quand vous égorgez une bête, faites-le correctement : aiguisez bien votre lame pour lui éviter de souffrir ».
 
En fait, on a entendu beaucoup de fausses allégations selon lesquelles la méthode islamique, adoptée pour l’immolation des bêtes, est inhumaine. Cependant, le Professeur Schultz et son collègue Dr. Haazim, qui travaillent à l’Université allemande de Hanovre, ont prouvé, par une expérience se servant de l’électro-encéphalographie (EEG) et de l’électrocardiogramme (ECG), que l’immolation des animaux selon la méthode islamique constitue la seule méthode humaine et que la méthode d’assommement, adoptée en Occident, produit des douleurs sérieuses chez l’animal.
 
Les résultats ont surpris de nombreuses personnes.
 
Détails de l’expérience :
1- Plusieurs électrodes ont été chirurgicalement implantées à divers points du crâne de tous les animaux, touchant la surface du cerveau.
 
2- On a permis aux animaux de se remettre pendant plusieurs semaines.
 
3- D’autres ont été abattus en faisant, avec un couteau bien aiguisé, une incision rapide et profonde dans le cou, coupant les veines jugulaires, ainsi que les artères carotides des deux côtés, la trachée et l’œsophage, conformément à la méthode islamique.
 
4- Quelques animaux ont été assommés, utilisant un pistolet pour cela, ce qui est la méthode humaine d’abattage, adoptée en Occident.
 
5- Pendant l’expérience, une EEG et un ECG ont été enregistrés pour tous les animaux, afin de connaître l’état du cerveau et du cœur pendant le processus d’abattage et d’assommement.
 
Résultats et Discussion :
I- La méthode islamique :
1- Comme enregistré sur l’EEG pendant les trois premières secondes de l’abattage conformément à la méthode islamique, aucun changement n’a été enregistré par rapport au graphique avant l’abattage, indiquant ainsi que l’animal n’a senti aucune douleur pendant ou immédiatement après l’incision.
 
2- Pendant les trois secondes suivantes, l’EEG a enregistré un état de sommeil profond et d’inconscience, dû à la grande quantité de sang qui a jailli du corps de l’animal.
 
3- Après les 6 secondes susmentionnées, l’EEG a enregistré le niveau zéro, montrant l’absence absolue de toute sensation de douleur.  
 
4- Tandis que le message cérébral (l’EEG) descendait au niveau zéro, le cœur battait toujours fort et le corps se convulsait vigoureusement (ceci étant une réaction de la moelle épinière), faisant couler le maximum de sang en dehors du corps et fournissant ainsi une viande hygiénique pour le consommateur.
 
II- Méthode occidentale d’assommement à l’aide du pistolet utilisé à cet effet :
1- Les animaux étaient apparemment inconscients tout de suite après l’assommement.
 
2- L’EEG a montré une douleur intense immédiatement après l’assommement.
 
3- Le cœur de l’animal assommé par le pistolet en question a pris plus de temps pour s’arrêter de battre que dans le cas des animaux abattus selon la méthode islamique, ce qui mène au maintien de plus de sang dans la viande, ce qui n’est pas sain pour le consommateur.
 
Louange à Allah qui nous a guidés vers ceci. Nous n’aurions pas été guidés, si Allah ne nous avait pas guidés.
 
Allahomma Arinal-Haqqa Haqqan Wa-Rzoqna Ittibaa’ahou, Wa Arinal-Baatila Baatilane Wa-Rzoqna Idjtinaabahou (Ô Allah, montre nous la Vérité telle qu’elle est et aide nous à la suivre, et montre nous l’erreur telle qu’elle est et aide nous à l’éviter).
 

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